mardi 29 mars 2016

The Witcher 3: Wild Hunt - Un RPG triple A qui s'approche de la perfection.

Pour être tout à fait honnête, à la base, le jeu ne m'intéressait pas du tout... C'est après avoir constaté qu'il a été élu, et haut la main, jeu de l'année sur Gamekult que je m'y suis penché. Une soixantaine d'heures de jeu plus tard, je comprends mieux pourquoi, et je trouve ça totalement mérité.

Maintenant, au lieu d'écrire un roman que peu de gens liront, je vais simplement énumérer les points positifs, qui sont nombreux, et les quelques points négatifs du jeu.

+ Les graphismes: Le jeu est beau, c'est un fait. Que ce soit les effets de lumière et de particules, la variation dynamique de la météo, les différents lieux qui ont chacun un cachet unique (tout en restant logique avec l'ensemble), la végétation, l'eau, etc. Tous ces éléments graphiques semblent ressortir, comme s'ils étaient vivants, et nous plongent complètement dans l'univers du jeu. (Une mention spéciale pour Skellige, qui met une grosse claque)

+ L'optimisation: Après pas mal de déceptions concernant certains portages PC, il est important de signaler quand un jeu est bien optimisé. Et c'est le cas avec The Witcher III, qui, même avec ma vieillissante GTX 780, tourne en ultra (en désactivant tout de même Hairworks), en 1080p et reste très fluide (entre 45-55 fps).

+ Le chara-design: Il y a des titres avec de beaux environnements mais qui pêchent par leurs personnages. Ici, en revanche, les protagonistes et même les personnages secondaires ont un charisme assez raremment vu dans un jeu vidéo. Que ce soit Geralt, Triss, Ciri, Yennefer, Vesemir, Eskel, Lambert, et j'en oublie, ils ont tous une véritable personnalité, aussi bien au niveau visuel et artistique, que de l'animation ou de leur manière de réagir aux évènements.

+ La bande son et les bruitages: L'orchestration, les chansons (Je pense à celle de Priscilla <3), les voix (en VO pour ma part) et les bruitages sont de très bonne facture. Aussi, quand vous activez le 'witcher sense', tous les bruits environnants sont accentués; vos pas, le craquement des arbres par le vent, etc. Ca fait son petit effet.

+ L'histoire: Sans rien spoiler d'important, l'histoire semble, au début, assez simple... Vous êtes un witcher répondant au nom de Geralt of Rivia et vous êtes à la recherche de votre jeune élève, Ciri, qui a disparu. Même si la trame principale se complique en avançant, ce qui fait sa richesse, ce sont tous les personnages secondaires, leur propre histoire et le fait que chacun d'eux ait une influence sur le récit central. (La partie avec le Bloody Baron est un bon exemple)

+ Les choix: Comme tout bon RPG qui se respecte, vos choix ont un réel impact sur le déroulement de l'histoire. Il m'est arrivé de répondre à une question de manière un peu brutale, un combat s'en est suivi et je n'ai plus revu ce personnage qui semblait pourtant important. Il y a également plusieurs parties charnières où vos choix précédents changeront vraiment le cours de l'aventure (et aussi le fait que vous ne pourrez plus revenir en arrière et terminer certaines quêtes secondaires). Il y a trois fins au jeu, et la vôtre sera bien évidemment une conséquence de vos choix passés.

+ Le gameplay: La maniabilité, quoiqu'assez basique, reste très agréable. Un bouton pour contrer, pour esquiver, pour faire une roulade, deux pour faire soit une attaque puissante soit une attaque normale mais plus rapide... Ajouté à ça, tous les différents pouvoirs qui font de vous un witcher; attaque de feu, influencer les esprits à la jedi, créer des pièges, etc. Et également, toutes les potions que vous pouvez créer grâce à vos connaissances en alchimie. Il y a bien évidemment plein de subtilités dont je ne parle pas mais que je vous laisse découvrir.

- Les menus: L'ergonomie des menus est clairement perfectible. Je ne sais pas ce qu'il en est pour ceux qui jouent au clavier/souris, mais à la manette, il faut un petit temps d'adaptation.

- Les quelques bugs: J'imagine que ça a dû être pire pour ceux qui ont commencés le jeu directement à sa sortie, mais même après plusieurs mois de patchs, j'ai rencontré quelques bugs plutôt dérangeant... Entre autres, des ennemis qui restent coincés dans des éléments du jeu. Aussi, Geralt qui lévite à plusieurs mètres du sol avec ses jambes dans tous les sens.

The Witcher III est un jeu qui n'a pas cessé de me surprendre tout au long de ma partie. Je pourrais en parler pendant des heures, mais mon but est avant tout de donner envie aux gens qui hésitent de s'y lancer. Au final, il a mis la barre assez haute et je vais avoir du mal à rejouer à des jeux plus 'moyens'.

lundi 23 novembre 2015

Life is Strange

Life is Strange est un jeu developpé par le studio français DONT NOD, à qui l'on doit également Remember Me. Le titre se présente de manière épisodique, similairement aux productions Tell Tale. La petite différence est que chaque épisode correspond à un jour passé dans l'univers du jeu.

Selon moi, il y a trois grands thèmes abordés dans Life is Strange.
Tout d'abord, le fait que l'héroine, Maxine Caulfield, ait la capacité de remonter dans le temps. Ce qui dans l'histoire est directement lié à la théorie de l'effet papillon. Cette théorie veut que le battement d'ailes d'un papillon peut provoquer un cataclysme à l'autre bout du globe. Dans le jeu, ceci est révélé quand Max découvre son pouvoir sur le temps, juste après qu'elle ait photogrtaphié un papillon bleu. Pratiquement au même moment, elle a des visions d'une tornade s'abattant sur la ville d'Arcadia Bay.

La deuxième 'couche' coïncide à tout ce que l'on peut expérimenter dans la vie d'une étudiante ordinaire. Max retourne dans sa ville natale après avoir passé 5 ans à Seattle, elle vient d'avoir 18 ans et entre à Blackwell Academy pour étudier la photographie. De nature plutôt résevée et introvertie, on en apprend énormement sur son monde puisqu'elle a tendance à commenter ce qu'elle pense de tous les objets et personnes avec lesquels on peut interagir.

Le troisième aspect correspond au côté thriller du jeu, incluant suspense, mystère, meurtres et compagnie (je n'en dit pas plus afin d'éviter tout spoiler). Evidemment, ces trois parties ne sont pas clairement séparées, elles s'entremêlent et se complètent durant l'aventure.

Pour aller droit au but, j'ai adoré ce jeu. J'ai tout de suite été conquis par sa richesse d'écriture, son univers graphique unique (même si techniquement pas parfait) et son gameplay original (changer le cours de l'histoire par la force d'un seul bouton). Si je devais lui trouver un défaut, ce serait certains dialogues légèrement tirés en longueur... Rien de dramatique cela dit.

Je le conseille aux personnes désirant vivre quelque chose de différent, de profond et remarquable... Loin des classiques qu'on nous ressert chaque année.





lundi 13 juillet 2015

The Talos Principle - Un Portal-like à la narration métaphysique

Etant un gros fan de Portal (1 et 2), et vu que The Talos Principle se présente comme un digne successeur, j'en attendais beaucoup... Au final, je l'ai adoré, même s'il y a clairement des différences avec le jeu susnommé.

C'est surtout dans la forme qu'ils sont dissemblables... Là où Portal est fun et marrant, The Talos Principle est plutôt philosophique et mystérieux. En revanche dans le fond, il s'agit de la même chose, résoudre des puzzles 3D en s'aidant de différents 'outils' mis à notre disposition.

Les puzzles en eux-même montent graduellement en difficulté. Même si parfois, il m'est arrivé de finir un niveau en moins de 5 minutes, alors que pour d'autres, il m'aura fallu plus d'une demi-heure. Il est vraiment question de penser 'out of the box'... C'est souvent une bête subtilité qui nous échappe.

Le but de tous ces puzzles est de récupérer à chaque niveau ce qu'ils appellent des Sigils, ce sont tout simplement des pièces de Tetris. Il faudra les placer dans le bon sens afin qu'ils remplissent certains tableaux. Au début du jeu, ces tableaux serviront uniquement à débloquer de nouveaux instruments pour  poursuivre l'aventure.

Ceux-ci sont variés, cela va du classique cube et connecteur de laser, au 'jammer' (qui permet de courcircuiter certaines barrières et objets) et à l'enregistreur (vous enregistrez une ou plusieurs actions, appuyez sur lecture, et elles s'entremêlent avec vos interventions dans le 'présent').

En ce qui concerne l'histoire et sans trop spoiler... Il y a d'un côté Elohim (Dieu en hébreu), dont sa voix  semble venir de nulle part, qui vous incite à ne rien questionner et à simplement 'subir' le cycle de la vie. Et d'un autre, vous découvrirez différents personnages, que ce soit aux travers de terminaux, de flashcodes ou de 'livres' audios disséminés un peu partout, qui apporteront chacuns une vision différente de ce qu'est la conscience, l'intelligence artificielle et finallement l'illumination.

Il y a deux fins au jeu, et alors que la première est en somme toute banale (on y arrive après + ou - 15 heures), la seconde se finit en apothéose et est juste magique. :) (comptez 5 heures de plus)

Comme j'étais tellement pris par les énigmes, je n'ai pratiquement pas de screenshots de ces dernières... Juste de certains environnements que je trouve très beaux.



Ici, on peut voir l'enregistreur en action.




Pour finir, chose surprenante, les devs derrière TTP (Croteam) sont ceux qui ont créé la license FPS Serious Sam... On peut dire qu'ils ont opéré un changement à 180°.

vendredi 19 juin 2015

Polarity - Un Portal simplifié

Polarity est un Portal-like sans une véritable histoire. Vous êtes juste engagé en tant qu'hacker pour résoudre des puzzles (tout en devant récolter des 'data fragments', il y en a trois cachés par niveau)  et si vous arrivez jusqu'à la fin, vous recevrez 10 000 000 de crédits.

Le jeu est divisé en quatre parties.
La première étant la campagne solo, qui m'a pris une petite heure à finir. Les niveaux ne sont pas spécialement dures à résoudre, mais on ressent tout de même une certaine satisfaction en passant de niveau en niveau.
Ensuite, il y a les niveaux bonus, au nombre de dix. Il s'agit tout simplement d'une petite expension du mode solo (qui m'a pris environ une demi heure).
Les deux dernières parties sont des levels à faire en coop (uniquement en local, une option online aurait été sympa...). L'une où l'on s'entraide pour achever quelques niveaux et l'autre, un versus, où le premier à terminer le niveau gagne. Je n'ai pas encore essayé ces deux modes, je ne peux donc pas en dire grand chose.

Voilà, le jeu m'ayant couté un euro, je ne regrette pas du tout de l'avoir acheté. Même s'il est très court, le plaisir de jeu est clairement là.

Quelques screenshots pour vous montrer à quoi ressemble le jeu:

Ici, un 'data fragment'.




dimanche 14 juin 2015

Metro 2033

Metro 2033 est un jeu que j'ai apprécié, mais auquel il manque ce petit plus qui aurait pu en faire un très bon jeu. Cette critique sera donc concise.

Sa grande force est clairement sa DA. L'ambiance post-apocalyptique dans une Russie où les gens se sont réfugiés dans le métro de Moscou (dû au fait qu'à l'extérieur, l'air est irrespirable) et qui est également infesté de monstres en tous genres.

L'autre aspect intéressant est le fait de devoir gérer son matos... Dans cet univers, tout se troque avec des munitions (que vous récupérerez sur des cadavres ou dans des casiers tout au long du jeu). Vous devrez donc choisir quelles armes vous voulez améliorer, acheter des medkits, etc.

Aussi, un objet indispensable dans ce jeu est le masque à gaz... et les filtres qui vont avec (qui durent généralement quelques minutes). Un point négatif selon moi, c'est que parfois votre filtre n'est encore utilisable que pendant quelques secondes, que le jeu s'auto-sauvegarde et à moins que vous en trouviez un autre rapidement, vous devrez refaire le chapitre depuis le début (il y en a sept en tout).

Le jeu se finit en moins de 10 heures... Et ce que je lui reproche, en plus d'être extrêmement linéaire, c'est que rien de bien mémorable ne se passe.
Pour résumer, l'histoire est assez banale mais l'enrobage est agréable.

J'ai joué à la version 'Redux'. Je sais pas comment l'origiinal était, mais dans ce cas-ci, les environnement sont vraiment classes.

Au calme avant la tempête.

Voilà le genre de bestioles que vous croiserez.

Des détails jusqu'aux ongles.

Cette petite flèche verte vous aidera à trouver votre chemin dans les ténèbres.

dimanche 31 mai 2015

Remember Me - Linéairement épique

Pendant qu'une grande majorité de joueurs s'est jetée sur The Witcher III, j'ai décidé de me faire Remember Me pour ensuite m'attaquer à Life Is Strange (du même studio français, DONTNOD).
Une dizaine d'heure plus tard (le temps qu'il m'a fallu pour terminer le jeu), la meilleure manière de le décrire, selon moi, en quelques mots est 'linéairementr épique'.

On est clairement dans l'ère de l'open world et beaucoup de personnes critiquent souvent les jeux dirigistes et linéaires... Eh bien Remember Me est tout ce qui se fait de plus linéaire (tout comme, voire encore pire que, The Order 1886). Personnelement, ça ne me dérange pas, du moment que l'histoire et le gameplay soient un tant soit peu original et sympa... Et ça l'est dans ce cas-ci.

J'ai vraiment apprécié l'histiore et ai trouvé la fin assez épique. Sans spoiler, vous incarnez une jeune femme répondant au doux nom de Nilin. Vous reprenez conscience dans ce qui semble être une prison et avez perdu une grande partie de votre mémoire. C'est là qu'avec l'aide du mystérieux Edge, vous allez partir en quête pour, entrer autre, retrouver vos souvenirs.
Toute l'histoire se passe dans un futur proche (je ne me rappelle plus de la date exacte :s) dans un Neo-Paris où la société Memorize a trouvé/inventé la possibilité d'enlever, d'ajouter et de mofifier les souvenirs de tout un chacun. Ca partait très certainement d'une bonne intention, mais on se rend vite compte que ça a créé un véritable chaos.

Vu de l'extérieur, le gameplay de RM s'apparente à celui de la saga des Batman Arkham, à la différence qu'il est possible de configurer ses propres combos. Pour cela, il faut combiner ce qu'ils appellent des Pressens, il y en a evidemment de plusieurs types... Ceux qui infligent des dégats, ceux qui soignent, ceux qui 'cooldown' les pouvoirs spéciaux (comme le mode fury, ou celui qui désactive tout ce qui est électronique, ou encore celui qui rend Nili invisible, etc.), et également celui qui augmente l'effet du Pressen précédent. Vous pouvez donc créer comme bon vous semble les différents enchainements de touches avec les pressens de votre choix. Perso, j'ai fait un combo de dégat, un autre de soin, etc., au lieu d'en mixer plusieurs sur un même combo.

Il y a une bonne diversitée dans les ennemis et boss (surtout le dernier <3) pour ne pas s'embêter... ils vous obligeront à utiliser tout l'arsenal à votre disposition.

Graphiquement, pour un jeu qui a deux ans, c'est clean et agréable, mais pas incroyable. J'ai tout de même émis un petit 'waw' à certains moments. Je vous laisse juger avec ces quelques captures d'écran.

La ville de Neo-Paris est divisée en deux, les bas fonds et la haute sphère.


Les statues sont particulièrement bien rendues.

Est-ce fait exprès? Une faute de français faite par des devs français. ^_^

Nili qui s'entraine sur un punching bag.

La partie plateforme du jeu, avec parfois de belles vues.

mercredi 20 mai 2015

Alien: Isolation - Un bel hommage au film de Ridley Scott

Introduction:
Alien: Isolation est un FPS/Survival-horror axé infiltration qui se base principalement sur le premier film de la saga Alien de Ridley Scott. A la seule différence que dans le jeu vous incarnez Amanda Ripley, la fille d'Ellen Rypley, qui est censée être morte. Il y a surement une subtilitée scénaristique que je n'ai pas tout à fait capté... Soit.
Amanda apprend que sa mère pourrait être en vie dans le vaisseau Nostromo et part donc avec une équipe à sa rescousse. Mais avant cela, ils décident de s'amarrer à la station orbitale Sevastopol... Et c'est la que 'les problèmes' commencent, avec tout ce que ça implique.

La station orbitale Sevastopol

Les graphismes:
Les environnements sont franchement beaux, il y a un vrai travail sur les détails qui fait qu'on se croirait dans le film. Les lumières, les réflections au sol, les vues qui donnent sur l'espace, etc. Tout y est.
Les créatures sont aussi très bien rendues, avec les bruitages qui vont avec.
Le seul 'petit' défaut qu'on pourrait lui reprocher, ce sont les visages un peu rigides, manquant de vie.


L'histoire:
L'histoire pourrait être écrite sur un post-it. Tout le reste, l'emballage, consiste à explorer les lieux, à activer des 'modules' et à collecter de nouveaux objets. (pour résumer, c'est du allez-là, faites-ci, faites-ça...) L'intérêt n'étant clairement pas le scénario mais plutôt son univers, l'ambiance qui donne envie d'avancer dans le jeu. (semblablement au film)
Ce qui peuple l'endroit, sont bien évidemment les aliens, mais également des androids (ils sont très nombreux comparé au film où il n'y en a qu'un, et ne sont pas très 'friendly') et bien sûr des humains (certains alliés, d'autres ennemis).


Du Ketchup, même dans l'espace, on ne peut pas s'en passer. ^_^

La durée de vie:
J'ai fini le jeu en 20-25h. On pourrait diviser ce temps par deux s'il ne fallait pas constamment avancer en étant accroupi... C'est la partie infiltratioin du jeu, avancer sans se faire repérer, principalement par les aliens (si c'est le cas, il y a de grandes chances que vous mourriez dans les secondes qui suivent).

Au début du jeu, il est indispensable d'éviter tout contact avec l'alien.

Les objets et armes:
Similairement à un The Last of Us, on peut crafter des objets en en combinant d'autres. (Trousses de soin, cocktail molotov, grenade aveuglante, bombe fumigène, émetteur de sons, etc.)
Il y a également une bonne diversitée dans les armes pour ne pas s'embêter. Chaque arme a ses spécificités et est de ce fait plus efficace contre un certain type d'ennemi. (revolver, fusil à pompe, taser, lance flamme, fusil 'éclair', etc.)


Conclusion:
Sega et les développeurs de chez The Creative Assembly ont fait du bon boulot, enfin un jeu digne de cette saga. Je vous recommande de regarder au moins le premier long-métrage avant de vous lancer dans le jeu. Personnellement, j'ai matté les quatres films avant de jouer et j'ai pu constater tout plein de petits détails qui leur rendent hommage. Un titre que j'ai vraiment apprécié!